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Remerciements

Le 26e Congrès international de papyrologie n’aurait pu se tenir à Genève sans le soutien financier de diverses institutions. Nous tenons à remercier en premier lieu la Société Académique de Genève, dont le subside a été essentiel pour mettre en place le processus d’organisation. Nous avons aussi bénéficié de l’aide généreuse de l’Académie Suisse des Sciences Humaines, de la Commission Administrative de l’Université de Genève, de la République et Canton de Genève, de la Ville de Genève, de la Fondation Max Van Berchem, de la Faculté des Lettres de l’Université de Genève et de l’Association Internationale de Papyrologues. Quant à l’Office du Tourisme genevois, il nous a assistés dans la phase préparatoire du congrès en nous prodiguant de précieux conseils, notamment pour effectuer diverses réservations.

Pendant leur séjour, les participants du congrès ont joui de l’hospitalité de plusieurs institutions genevoises et de leurs représentants. Il nous est agréable de rappeler le soutien indéfectible que nous avons reçu des Professeurs André Hurst, Recteur de l’Université de Genève au moment où le projet du congrès a été élaboré, et dont le lecteur lira avec intérêt une contribution dans le présent volume ; Jean-Dominique Vassalli, Recteur de l’Université de Genève, et Eric Wehrli, alors Doyen de la Faculté des Lettres, qui nous ont fait l’honneur de leur présence lors de la cérémonie d’ouverture du congrès ; et Guillemette Bolens, d’abord Vice-doyenne de la Faculté des Lettres puis Vice-rectrice de l’Université, dont la disponibilité et le dévouement pour la cause de l’alma mater n’ont d’égale que la constance de son amitié. En outre, l’Université de Genève a mis à notre disposition des locaux fort accueillants ; le personnel attaché au bâtiment Uni-Mail s’est efforcé de nous assister dans les tâches de gestion de l’événement. A Uni-Bastions, Mme Helen Gagnon nous a aussi aidés, notamment lorsqu’il s’est agi de stocker des mètres cubes de livres envoyés par des éditeurs désireux d’exposer leur production dans le cadre du congrès.

La Bibliothèque de Genève a mis sur pied une exposition intitulée Alpha, Bêta, Gamma : l’étude du grec à Genève, que les participants – tout comme la population genevoise – ont pu visiter. Nous adressons nos remerciements chaleureux à la commissaire de l’exposition, le Dr. Barbara Roth, Conservatrice des manuscrits, ainsi qu’à M. Jean-Charles Giroud, alors Directeur de la Bibliothèque de Genève.

La Ville de Genève a donné une réception à tous les participants du congrès dans les locaux du Musée d’Art et d’Histoire. Nous y avons été amicalement salués par son Directeur, M. Jean-Yves Marin ; qu’il trouve ici l’expression de notre reconnaissance pour son accueil.

Nous avons aussi eu l’occasion de faire découvrir à nos collègues venus de loin deux lieux exceptionnels de la vie culturelle et scientifique genevoise. La Fondation Martin Bodmer nous a ouvert ses portes, nous permettant ainsi d’apprécier la richesse de ses collections ; nos remerciements vont à son Directeur, le Professeur Charles Méla, ainsi qu’à sa Vice-directrice, le Dr. Sylviane Messerli, qui ont su nous faire découvrir leurs trésors dans les meilleures conditions. Nous avons aussi rendu visite à la Fondation Hardt, un centre de recherche où viennent travailler des savants du monde entier. Nous y avons été aimablement reçus par son Directeur, le Professeur Pierre Ducrey, ainsi que par sa Secrétaire scientifique, Mme Monica Brunner, avec leur gentillesse coutumière ; ils ont fait honneur à Zeus Xenios, le dieu de l’hospitalité.

Les membres du Comité d’honneur et du Comité scientifique ont apporté, de diverses manières mais toujours efficacement, leur soutien à ce congrès. Qu’ils veuillent bien recevoir ici l’expression de notre gratitude.

Au niveau de l’organisation du congrès, seuls ceux qui ont eux-mêmes mis sur pied une manifestation d’une telle ampleur peuvent mesurer la charge de travail que cela représente. Nous avons eu la chance de pouvoir compter sur deux collaborateurs d’une efficacité à toute épreuve pour poser les bases de l’organisation, puis mener à bien les nombreuses tâches indispensables pour que tout soit prêt le jour de l’ouverture du congrès : sans la compétence, l’énergie et l’abnégation du Dr. Valéry Berlincourt et de Mme Manuela Wullschleger, ce congrès n’aurait sans doute jamais eu lieu. Pendant toute la durée du séjour des participants, nous avons aussi été secondés par plusieurs étudiantes qui n’ont pas épargné leur peine pour faciliter le rôle des orateurs et des auditeurs. C’est un plaisir de remercier Mmes Sophia Casieri, Carmela Crippa, Alina Felix, Anaïs Marchiando, Vanessa Monteventi et Séverine Nasel. Plusieurs collaboratrices et collaborateurs du Département des sciences de l’Antiquité se sont aussi généreusement mis à notre disposition pour nous seconder : nous adressons nos remerciements en particulier à Mmes Daniela Giardina et Sophie Gällnö, ainsi qu’au Dr. André-Louis Rey et à M. Philippe Matthey. Pour le dîner de clôture du congrès, qui s’est tenu dans le Restaurant « L’Attique », au sommet du bâtiment de l’Organisation Météorologique Mondiale, nous avons pu mesurer la qualité du service qui nous a été prodigué par le personnel.

Les Actes du congrès paraissent dans la série des Recherches & Rencontres de la Faculté des Lettres de l’Université de Genève. Nous remercions la commission chargée de superviser la collection d’avoir donné un préavis favorable lorsque nous avons proposé d’y inclure un volume d’un format inhabituel. Nous avons aussi apprécié de pouvoir collaborer avec les Editions Droz, et en particulier avec leur Directeur, le Dr. Max Engammare ; il soutient avec beaucoup d’élégance l’édition scientifique genevoise.

Tous les articles figurant dans ce volume ont été soumis à expertise indépendante – et anonyme. Il est évidemment impossible de mentionner nommément plusieurs dizaines de collègues de nombreux pays qui ont apporté leur aide dans cette étape importante de la préparation des Actes. Qu’ils soient néanmoins remerciés pour leur collaboration.

Mme Sarah Gaffino Möri a fait preuve d’une acribie exemplaire dans la relecture du manuscrit. En outre, notre collègue le Prof. John Whitehorne s’est spontanément offert pour relire tous les textes rédigés en anglais et en corriger les éventuelles fautes d’expression ; pour cette heureuse manifestation de l’amicitia papyrologorum, venue de l’autre extrémité du globe, il mérite notre profonde reconnaissance.

Pour les caractères grecs et les caractères spéciaux relevant du domaine papyrologique, nous avons utilisé « IFAO-Grec Unicode », une police développée par Ralph Hancock et Jean-Luc Fournet ; pour le copte, la police « Ifao Copte », mise au point par Jonathan Perez. Merci à nos trois collègues d’avoir mis ces outils à la disposition de la communauté scientifique.