Lorsque j’enseignais à la Faculté des Lettres de Genève, celle-ci ne patronnait aucune collection. En acceptant aujourd’hui ce petit livre dans la série de ses publications, elle me donne un plaisir dont je la remercie. Philippe Borgeaud a eu la patience de m’écouter maintes fois quand j’élaborais les réflexions qui ont abouti à la rédaction de cet ouvrage et m’a fait plusieurs observations pertinentes. André Hurst et Madame Yvette Renoux qui ont pris la peine de relire mon manuscrit en ont éliminé de nombreuses erreurs. Qu’ils trouvent ici l’expression de ma gratitude.