Varia
OJ-italique-1025
Tavole delle annate di Italique
La publication du vingt-cinquième volume de la revue Italique correspond aussi au vingt-cinquième anniversaire de celle-ci. En 1997, le mécène et grand collectionneur Jean Paul Barbier-Mueller fondait à Genève une institution destinée à encourager l’étude de la poésie italienne de la Renaissance. Cette fondation était associée à l’université, et son président, selon les statuts, devait être un professeur de cette institution. En plus d’une importante dotation financière destinée aux frais de fonctionnement, à l’octroi de bourses de recherche et à l’organisation d’une conférence annuelle, le fondateur offrait un exceptionnel ensemble de livres rares réunissant plusieurs centaines d’éditions du XVe au XVIIe siècle des principaux poètes italiens, de Dante à Chiabrera. Ce fonds, conservé dans les locaux de l’université et ouvert aux chercheurs, a fait l’objet d’un catalogue imprimé publié en 20071. Il n’a pas cessé d’être enrichi depuis par une dynamique politique d’acquisition, généreusement poursuivie, après la disparition du fondateur en 2016, par la famille Barbier-Mueller. Parmi les pièces nouvelles, on mentionnera en particulier le manuscrit de dédicace des Rime spirituali (vers 1576) de Geronimo Del Riccio offert au roi de France Henri III, deux éditions incunables de la Commedia de Dante, dont la précieuse édition illustrée de 1481, un manuscrit autographe inédit des rimes de Gabriele Simeoni adressées à Côme de Médicis2.
Deux initiatives éditoriales complétaient ce projet. La première, une série de « Textes et travaux de la Fondation Barbier-Mueller pour l’étude de la poésie italienne » qui trouvait sa place au sein de la prestigieuse collection des « Travaux d’Humanisme et Renaissance » publiée par la Librairie Droz, était destinée à accueillir des ouvrages collectifs, des actes de colloques et des éditions de textes élaborés dans le cadre ou avec l’appui de la Fondation3. La seconde concernait une revue annuelle en italien et en français, destinée à accueillir les travaux ponctuels portant sur la poésie italienne des Quattrocento et Cinquecento et sa réception européenne, dus à des savants confirmés mais aussi à de jeunes chercheurs, à qui était offerte la possibilité d’une publication labellisée. Enfin, la revue devait permettre la publication des textes de la conférence annuelle organisée par la Fondation. Pour ce projet qui lui tenait particulièrement à cœur, Jean Paul Barbier-Mueller choisit le titre d’Italique. Il s’agissait pour lui d’une claire référence au caractère d’imprimerie gravé par Francesco Griffo qu’Alde Manuce avait mis en œuvre en 1501 et 1502 pour imprimer les éditions de Pétrarque et de Dante, et auquel par la suite s’identifia le livre en langue italienne dans son ensemble. Le choix du terme français, Italique, permettait aussi de désigner la matière traitée dans la revue, par un jeu de mots fondé sur le rapprochement entre le caractère d’imprimerie et son usage national, ce que ne permettait pas le terme technique italien correspondant, corsivo, plus adapté à une revue d’histoire du livre. Par une forme de cohérence bibliophilique, Jean Paul Barbier-Mueller donna à la revue une présentation originale, marquée à la fois par l’emploi même de l’italique dans le corps du texte des articles (les citations et les notes de fin étant en caractère romain), par la présence de lettrines ornées, par un format élégant et par une couverture gris pâle à rabats, dont l’illustration reproduit la marque de la « Veritas filia temporis », qu’avait utilisée dans les années 1550 l’imprimeur vénitien Francesco Marcolini. Dès l’origine, la revue, imprimée sur les presses de l’imprimerie Paillart à Abbeville, a été éditée par la Librairie Droz, à Genève, comme une publication de la Faculté des Lettres de l’Université. Depuis plusieurs années, elle est accessible en ligne.
Le président de la Fondation, Guglielmo Gorni, titulaire de la chaire de littérature italienne à l’université de Genève, accepta de se voir confier la direction d’Italique. Assisté d’un conseil scientifique international, il donna à la revue une première et décisive impulsion, en la faisant bénéficier de son prestige savant et de sa vaste culture, et en la soumettant à sa rigueur de philologue dans le choix et le suivi des articles. En quelques années, la revue gagna sa notoriété et sut s’imposer dans le cercle étroit des grandes revues d’érudition. Après la disparition du professeur Gorni, alors que Michel Jeanneret, un francisant amoureux de l’Italie, assurait la présidence de la Fondation, la direction par interim de la revue (2011-2016) fut assumée par un autre francisant, le vice-président Jean Balsamo, professeur à l’université de Reims, puis, sous une forme bicéphale, par Chiara Lastraioli, professeur de littérature italienne à l’université de Tours et au CESR, et Massimo Danzi, professeur à l’université de Genève. En 2019, ce dernier succéda en qualité de président de la Fondation au regretté Michel Jeanneret, que l’Accademia dei Lincei venait de récompenser pour son activité au service des lettres italiennes.
Sous la direction des successeurs de Gugliemo Gorni, la notoriété et le statut international de la revue ont été confirmés en même temps que celle-ci connaissait une évolution éditoriale : la mince publication confidentielle de 150 pages réunissant cinq ou six articles variés, s’est progressivement élargie jusqu’à devenir un imposant volume de près de 400 pages, tout en conservant ses critères de sélection et ses exigences critiques. Depuis 2011, elle associe à une section de varia une partie monographique ou thématique, parfois issue des actes d’une rencontre savante, confiée à des directeurs de publication particuliers : European Petrarchism: Reading and Writing Petrarch in the Renaissance (XIV-XV, 2011-2012, Stefano Jossa)4, Poesia comica (XVI, 2013, Chiara Lastraioli), Erotismo e sensualità nella lirica rinascimentale (XVII, 2014, Franco Tomasi), Poésie et théâtre : autour de Giambattista Giraldi Cinzio (XVIII, 2015, Irene Romera Pintor), Poesia ed epistolografia (XIX, 2016, Paolo Procaccioli), Poesia pastorale (XX, 2017, Massimo Danzi)5, Poesia e religione (XXI, 2018, Chiara Lastraioli et Daniela Solfaroli Camillocci), La poésie et les arts (XXII, 2019, Frédérique Dubard de Gaillarbois), La poesia dialettale del Rinascimento nell’ Italia del Nord (XXIII, 2020, Luca D’Onghia et Massimo Danzi), Il libro di rime tra secondo Cinquecento e primo Seicento (XXIV, 2021, Valeria di Iasio et Franco Tomasi). En vingt-quatre ans et vingt-quatre volumes (sans compter ce volume XXV dont la partie thématique est consacrée aux volgarizzamenti in versi, sous la direction de Silvia D’Amico), ont été publiés dans Italique quelque 184 articles, parmi lesquels trente-deux en français et quatre en anglais, dus à 140 auteurs, auxquels s’ajoutent introductions, hommages et textes divers. Chaque article d’Italique est connu et diffusé par sa publication dans la revue, sa mise en ligne et la distribution de tirés-à-part imprimés, et, le cas échéant, par des recensions dans d’autres revues et une valorisation bibliométrique. En revanche, l’ensemble de cette production collective demande à être inventorié sur un mode spécifique pour rester exploitable par les chercheurs. Un premier Indice dei nomi a été établi à cette fin par Paola Allegretti pour les volumes I à V (1997-2002). Donnant les sommaires de chaque volume, un Indice degli autori e dei personaggi storici et un Indice della bibliografia, il a été publié dans le volume V, 2002, pp. 139-166, et en 2004, sous la forme d’un volume séparé, joint au volume VII. Il a été complété par un second Indice dei nomi pour les volumes VI à X (2003-2007), également dû aux soins de Paola Allegretti, publié dans le volume X, 2007, pp. 149-175. Un travail analogue aurait pu être effectué pour l’ensemble des volumes postérieurs à cette date. À défaut, on trouvera une Tavola delle annate, établie pour l’ensemble des volumes I à XXIV. Cette table est composée de deux index distincts. Le premier recense les auteurs d’articles et les titres de leurs contributions ainsi que la référence au volume, à l’année de parution et à la pagination ; il est complété par la liste des auteurs de conférences. Le second est une Tavola analitica delle cose notabili, qui recense les sujets et les thèmes développés dans les différentes contributions, les notions critiques mises en œuvre, ainsi que les poètes étudiés et leurs œuvres, avec les renvois aux auteurs des articles et à l’année de leur publication. À la différence des index établis pour les volumes I à X, ces deux Tavole, si elles mentionnent les noms des nombreux poètes étudiés, ne constituent pas le recensement des noms des personnages historiques mentionnés dans les vingt-quatre volumes d’Italique, non plus que des auteurs d’ouvrages critiques cités dans les notes. Ce qui était possible pour quelques centaines de pages ne l’était pas pour plus de 5000. En outre, il nous a paru important de mettre en évidence ce qui a été véritablement étudié dans ces vingt-quatre volumes, plus que ce qui a été simplement mentionné. En recensant tout ce qui a été étudié dans les articles publiés dans Italique, ce nouvel index-répertoire pourra servir comme une contribution à l’histoire de la critique : dans un ensemble extrêmement ouvert et varié de sujets et d’auteurs, de Dante à Chiabrera, selon la formule du fondateur, sont mis en évidence ceux qui, depuis vingt-cinq ans, ont suscité l’intérêt tout particulier des chercheurs dans le cadre original, italien et genevois, d’Italique, de même que se révèlent, en blanc, par leur absence, d’autres domaines, qui seront peut-être des objets d’étude pour le prochain quart de siècle de la revue.
Italique. Tavola delle annate 1998-2021. Volumi I-XXIV
I. Autori e titoli
Simone Albonico, Una «selva» di Giovanni Vendramini a Muzio Sforza (1550). Per la poesia manieristica a Milano, II, 1999, pp. 55-79.
———, Autour de forma et materia dans la poésie de Pietro Bembo et de ses contemporains, XIX, 2016, pp. 301-331.
Carla Aloè, Gomitoli letterari nel Mondo nuovo di Tommaso Stigliani, XIX, 2016, pp. 265-297.
Guillaume Alonge, Poesia ed evangelismo tra Italia e Francia: Luigi Alamanni, Antonio Caracciolo et Antonio Brucioli, XXI, 2018, pp. 137-180.
Helio J.S. Alves, Mouzinho’s Sonnet 40: A Reading in Four Stanzas, XIV, 2011, pp. 46-55.
Erminia Ardissino, Poesia biblica a Firenze nell’età del Savonarola, XXI, 2018, pp. 1-28.
Jean Balsamo, Dante, l’Aviso Piacevole et Henri de Navarre, I, 1998, pp. 79-94.
———, Les poètes français et les anthologies lyriques italiennes, V, 2002, pp. 9-32.
———, « Qual l’alto Ægeo… »: Montaigne et l’essai des poètes italiens, XI, 2008, pp. 109-129.
Jean Balsamo e Massimo Danzi, In memoriam Monique Barbier-Mueller, XXIII, 2020, pp. 7-8.
Jean Paul Barbier, Au lecteur, I, 1998, p. 7.
Federico Baricci, Le sonettesse «di varii linguaggi» di Giulio Cesare Croce, XXIII, 2020, pp. 337-367.
Étienne Barilier, L’amour créateur, XX, 2017, pp. 293-308.
Giovanni Bardazzi, Le Rime spirituali di Vittoria Colonna e Bernardino Ochino, IV, 2001, pp. 61-101.
Johannes Bartuschat, Le triomphe de Vénus et de la poésie : autour des « Stanze » de Pietro Bembo, XIV, 2011, pp. 175-204.
Francesco Bausi, Il sonetto LXII di Giovanni Della Casa e l’epilogo del suo «canzoniere», XV, 2012, pp. 11-46.
Roland Béhar, Lettura di «Ya siento el dulce espíritu de l’aura » di Fernado de Herrera, XIV, 2011, pp. 101-115.
Riccardo Benedettini, Il Negromante de l’Arioste traduit par Jean de La Taille, XIII, 2010, pp. 81-104.
Johnny L. Bertolio, Modalità epistolari nei capitoli in terza rima di Lattanzio Benucci (1521-1598), XIX, 2016, pp. 131-165.
Anna Bettoni, Il sonetto di Veronica Gambara sulla predestinazione in Du Bellay, V, 2002, pp. 33-52.
Monica Bianco, Rinaldo Corso e il ‘Canzoniere’ di Vittoria Colonna, I, 1998, pp. 35-45.
———, Per la datazione di un sonetto di Vittoria Colonna (e di un probabile ritratto della poetessa ad opera di Sebastiano del Piombo), XI, 2008, pp. 91-107.
Corrado Bologna, Le retour des dieux anciens : Giulio Camillo et Fontainebleau, V, 2002, pp. 109-138.
Lina Bolzoni, Les Asolani de Pietro Bembo, ou le double portrait de l’amour, IX, 2006, pp. 9-27.
Vanni Bramanti, Corrispondenza e corrispondenti nel secondo libro dei Sonetti di Benedetto Varchi, XIX, 2016, pp. 87-112.
Gabriele Bucchi, Au-delà du tombeau : Pyrame et Thisbé dans deux réécritures de la Renaissance italienne, XIII, 2010, pp. 53-80.
Maria Clotilde Camboni, Un sonetto di Giovanni Muzzarelli («Me freddo il petto e de nodi aspri e gravi»), il testo Beccadelli e la raccolta Bartoliniana, XXII, 2019, pp. 235-257.
Rosanna Camerlingo, Angels and Devils in Shakespeare’s Sonnet 144, XIV, 2011, pp. 75-85.
Stefano Carrai, Minturno, Marino e un modulo oraziano, I, 1998, pp. 95-101.
———, Per Giovanni Parenti e per i suoi Poeti latini del Cinquecento, XXIV, 2021, pp. 345-357.
Carlo Caruso, «Adonis et berger et chasseur tout ensemble»: un mito ibrido e la sua fortuna nella bucolica rinascimentale, XX, 2017, pp. 261-276.
———, Leggere Petrarca nel 1501, XXII, 2019, pp. 259-282.
Agostino Casu, «Translata prodicit arbos». Le imprese ‘eteree’ nelle Rime del Tasso, II, 1999, pp. 81-111.
———, Sonetti «fratelli». Caro, Venier, Tasso, III, 2000, pp. 45-87.
Concetta Cavallini, « Estrange amour qui n’as point ta pareille ! ». Pierre de Brach et la traduction de l’Aminte du Tasse, XIII, 2010, pp. 105-124.
Domenico Chiodo, Lo studiolo di Madama. Minuzie di interesse vasariano, X, 2007, pp. 9-14.
———, Missive in versi: i Capitoli del Porrino a Vespasiano Gonzaga, XIX, 2016, pp. 41-54.
Olivier Chiquet, « Il brutto ond’ io son bello »: la voix poétique de deux “caprices” d’Arcimboldo, XXII, 2019, pp. 131-158.
Andrea Comboni, Eros e Anteros nella poesia italiana del Rinascimento: appunti per una ricerca, III, 2000, pp. 7-21.
———, Piccolomini, Braccesi e Achillini: dal latino al volgare, dalla prosa al verso, VI, 2003, pp. 37-51.
———, Appunti su una fortunata raccolta di rime in pavano, XXIII, 2020, pp. 181-205.
Matteo Comerio, Le rime dialettali di Ser Bartolomeo Cavassico, XXIII, 2020, pp. 275-298.
Giacomo Comiati, «Benchè 'l sol decline / vince un sol raggio suo tutte le stelle». La parabola amorosa nelle Rime di Celio Magno, XVII, 2014, pp. 103-140.
Isabelle de Conihout, À propos de la bibliothèque aux cotes brunes des Laubespine-Villeroy : les livres italiens chez les secrétaires du roi dans la seconde moitié du XVIe siècle, VII, 2004, pp. 137-159.
———, Jean et André Hurault : deux frères ambassadeurs à Venise et acquéreurs de livres du cardinal Grimani, X, 2007, pp. 105-148.
Floriana Conte, “Un modo nuovo di scolpire”: fonti per la fama della Santa Veronica di Francesco Mochi (con la prima poesia a stampa di Salvatore Rosa), XXII, 2019, pp. 159-189.
Antonio Corsaro, La poesia comica di Michelangelo. Per una nuova edizione dei testi, XVI, 2013, pp. 193-230.
Paola Cosentino, Per un’ipotesi di lettura del Tasso autore del Mondo creato: la Divina settimana di Ferrante Guisone, II, 1999, pp. 143-165.
———, Tragiche eroine. Virtù femminili fra poesia drammatica e trattati sul comportamento, IX, 2006, pp. 65-99.
Renzo Cremante, Sofonisbe e Susanne: ragioni metriche nella genesi della tragedia rinascimentale, XVIII, 2015, pp. 63-88.
Giuseppe Crimi, Mostri, menzogne e meraviglie nel Bosadrello di Baldassare da Fossombrone, XVI, 2013, pp. 155-191.
Elisa Curti, «Era già il sole nell’usata aurora»: un’anonima serie di ottave in un codice parigino, VIII, 2005, pp. 73-88.
Martina Dal Cengio, «E l’autorità di Dante (perdoninmi alcuni) non vale»: riflessioni intorno all’incisività del Dante lirico nella poesia veneta del XVI secolo, XXIV, 2021, pp. 227-269.
Davide Dalmas, Lettura di «Vorrei voler, Signor, quel ch’ io non voglio» di Michelangelo Buonarroti, XV, 2012, pp. 137-148.
———, Ariosto apocalittico, XXI, 2018, pp. 29-58.
Massimo Danzi, Storia e fortuna senesi di un sonetto di Galeazzo di Tarsia, I, 1998, pp. 61-78.
———, Gli alberi e il «libro». Percorsi dell’Arcadia di Sannazaro, XX, 2017, pp. 119-148.
———, Breve viatico ai Poeti latini del Cinquecento di Giovanni Parenti, XXIV, 2021, pp. 329-343.
———, [Traduzione in italiano di:] M. Jeanneret, † Guglielmo Gorni, XIII, 2010, pp. 11-14.
———, [Introduzione], XX, 2017, pp. 7-11.
———, Hommage à Michel Jeanneret, XXII, 2019, pp. 7-10.
Massimo Danzi e Chiara Lastraioli, [Introduzione], XIX, 2016, pp. 13-15.
Massimo Danzi e Luca D’Onghia, La poesia dialettale del Rinascimento nell’Italia del Nord. [Introduzione], XXIII, 2020, pp. 9-23.
Massimo Danzi e Rodolfo Vittori, Tra Bergamo e Brescia. La misura trilingue del bergamasco Giovanni Bressani, XXIII, 2020, pp. 151-180.
Massimo Danzi e Jean Balsamo, In memoriam Monique Barbier-Mueller, XXIII, 2020, pp. 7-8.
JoAnn DellaNeva, Reading Desportes through the Italians: two early modern reader’s responses, XI, 2008, pp. 29-52.
Valeria Di Iasio, La diligenza della memoria: note a margine di alcune correzioni tassiane (Chigiano L. VIII. 302), XXIII, 2020, pp. 395-409.
———, Al di là del «Canzoniere»: il libro di rime d’autore tra Cinque e Seicento, XXIV, 2021, pp. 65-82.
Valeria Di Iasio e Franco Tomasi, Il libro di rime tra secondo Cinquecento e primo Seicento. [Introduzione], XXIV, 2021, pp. 7-17.
Mario Domenichelli, Wyatt’s ‘translation’ of Petrach’s «Una candida cerva», XV, 2012, pp. 181-194.
Luca D’Onghia, Facchini in Parnaso. Noterelle sui testi «alla bergamasca» tra Quattro et Cinquecento, XXIII, 2020, pp. 107-150.
Luca D’Onghia e Massimo Danzi, La poesia dialettale del Rinascimento nell’Italia del Nord. [Introduzione], XXIII, 2020, pp. 9-23.
Andrea Donnini, Scheda per il sonetto di Bembo a Paolo Giovio, VIII, 2005, pp. 89-110.
Frédérique Dubard de Gaillarbois, La « bouche éloquente » di Porzia. Nuove proposte sulla Porzia (1664) di Elisabetta Sirani, XVIII, 2015, pp. 151-186.
———, Pictura versus Poësis, XXII, 2019, pp. 13-38.
Micaela Esposto, Tra satira e realismo: per un’edizione commentata dell’Alfabeto dei villani pavano, XXIII, 2020, pp. 245-274.
Matteo Fadini, Un «libro non approvato né in parole né in sentenze»: Dello Divino Amore Christiano di Antonio Brucioli, XXI, 2018, pp. 99-135.
Enrico Fenzi, Il potere dell’amore e l’amore come potere. Note per una rilettura dell’Aminta, XXI, 2018, pp. 249-272.
Giovanni Ferroni, A margine di Piansi et cantai del Bembo, XII, 2009, pp. 73-91.
———, «Si ricerca ancora dottrina non picciola». Varchi, la poesia pastorale e i sonetti del 1555, XX, 2017, pp. 211-259.
Maria Finazzi, Riprese strutturali della bucolica classica nel Quattrocento, XX, 2017, pp. 47-72.
Jacopo Galavotti, Per un ritratto plausibile di Maffio Venier, XXIII, 2020, pp. 299-336.
———, Note sparse su metrica e macrotesto, XXIV, 2021, pp. 135-155.
Diletta Gamberini, «Antica purezza e dantesca gravità»: forme dell’appropriazione della poesia di Michelangelo nella Firenze di Cosimo I, XXI, 2018, pp. 199-233.
———, Nel nome del fratello: Pietro Vasari e la memorializzazione poetica dell’arte nell’Italia di fine Cinquecento, XXII, 2019, pp. 81-104.
Enrico Garavelli, «L’erudita bottega di Messer Claudio». Nuovi testi per il Reame della Virtù (Roma, 1538), XVI, 2013, pp. 111-154.
Antonio Gargano, «Sparsæ frondes» e «speranze sparte»: lettura del sonetto di Garcilaso de La Vega «¡Oh hado secutivo en mis dolores!», XIV, 2011, pp. 87-100.
André Gendre, La Pléiade entre Bembo et l’Arioste, VI, 2003, pp. 7-36. Sebastiano Gentile, Qualche considerazione sui Poeti latini di Giovanni Parenti,
XXIV, 2021, pp. 359-373.
Antonio Geremicca, Inedite corrispondenze in versi tra Benedetto Varchi e Agnolo Bronzino, XXII, 2019, pp. 58-80.
Roberto Gigliucci, Contro la luna. Appunti sul motivo antilunare nella lirica d’amore da Serafino Aquilano al Marino, IV, 2001, pp. 19-29.
———, Due sonetti di Camõens e la tradizione italiana, XIV, 2011, pp. 19-46.
———, Preliminari a uno studio delle lettere di Giovanni Battista Leoni, XIX, 2016, pp. 167-188.
Guglielmo Gorni, «Né cal di ciò chi m’arde». Riscritture da Orazio e Virgilio nell’ultimo Bembo, I, 1998, pp. 25-34.
———, Armi «in forma di trofeo» sul sepolcro di Clorinda (Gerusalemme liberata xii 94-95), IV, 2001, pp. 103-121.
———, I tempi dell’Olive, VI, 2003, pp. 77-105.
———, Prefazione a un Repertorio metrico della canzone italiana dai Siciliani al Tasso, IX, 2006, pp. 101-130.
———, [Avvertenza ; Avis au lecteur], V, 2002, p. 7 ; VII, 2004, p. 7 ; VIII, 2005, p. 7 ; IX, 2006, p. 7 ; X, 2007, p. 7 ; XI, 2008, p. 7 ; XII, 2009, p. 7 ; XIII, 2010, p. 15.
Rosanna Gorris Camos, « Le ali del pensiero » : échos, résonances et intertextes pétrarquistes dans l’Olive de Du Bellay, XV, 2012, pp. 73-136.
Giada Guassardo, Autoritratto del poeta «in villa»: la poesia lirico-bucolica di Niccolò da Correggio, XXIV, 2021, pp. 271-304.
Vincenzo Guercio, Il Torrismondo, la Merope, il coro a Venere del Giraldi. Note di metodo sul commento e sull’osmosi fra linguaggio lirico e tragico, XVIII, 2015, pp. 89-110.
Hans Honnacker, Echi petrarcheschi in «Superbi colli, e voi sacre ruine» di Baldassare Castiglione, XV, 2012, pp. 163-179.
Thomas Hunkeler, Les « déviations » de l’esprit. Lire Délie de Maurice Scève à la lumière du Dolce stil novo, V, 2002, pp. 53-75.
———, Dante à Lyon : des « rime petrose » aux « durs épigrammes », XI, 2008, pp. 9-27.
Bernhard Huss, Il dittico tragico di compassione e orrore nella Adriana e nella Dalida di Luigi Groto, XVIII, 2015, pp. 35-61.
Daniela Iovino, Un idiografo recuperato del Podere e della Balia di Luigi Tansillo, XV, 2012, pp. 217-231.
Michel Jeanneret, † Gugliemo Gorni, XIII, 2010, pp. 7-10; 11-14 [traduzione in italiano a cura di Massimo Danzi].
———, Hommage à Jean Paul Barbier-Mueller, XIX, 2016, pp. 7-11. Stefano Jossa, European Petrarchism. Reading and Writing Petrarch in the Renaissance. Petrarchismo Europeo. Leggere e scrivere Petrarca nel Rinascimento (Presentazione), XIV, 2011, pp. 11-17.
———, [Introduzione], XIV, 2011, pp. 7-10; XV, 2012, pp. 7-9.
Volker Kapp, Les Exempla dans les Triumphi et la culture oratoire de Pétrarque, XII, 2009, pp. 9-31.
William J. Kennedy, A Reading of «Quand vous serez bien vieille au soir à la chandelle» by Pierre de Ronsard, XIV, 2011, pp. 57-74.
Silvia Longhi, Il vestito sconveniente. Abiti e armature nella Secchia rapita, I, 1998, pp. 103-126.
Matteo Largaiolli, La Predica d’amore. Note sulla parodia sacra tra Quattro e Cinquecento, XI, 2008, pp. 53-89.
Paul Larivaille, De l’équivoque érotique dans la poésie italienne de la Renaissance, et de l’érotisme discret de l’Arioste en particulier, II, 1999, pp. 33-53.
Chiara Lastraioli, In extremis : la manière burlesque de Giovanni Francesco Ferrari, XVI, 2013, pp. 233-257.
———, Diletti comico-bucolici o della maniera rustica tra scena e tipografia, XX, 2017, pp. 193-210.
———, Poesia e religione [Introduzione], XVI, 2013, pp. 7-11.
Chiara Lastraioli e Massimo Danzi, [Introduzione], XIX, 2016, pp. 13-15. Chiara Lastraioli e Daniela Solfaroli Camillocci, [Introduzione], XXI, 2018, pp. ix-xi.
Paolo Luparia, L’Angelo del Tasso, XIX, 2016, pp. 189-246.
Daniel Maira, Sannazar entre Olivier de Magny et Hugues Salel dans les Amours (1553) ou la complicité du dédicataire. Étude d’une source inédite, VII, 2004, pp. 26-42.
Massimo Malinverni, Note per un bestiario lirico tra Quattro e Cinquecento, II, 1999, pp. 7-31.
Gian Piero Maragoni, Fisiologia di un tema boschereccio nel sonetto barocco, III, 2000, pp. 89-102.
Paolo Marini, Tra lirica e epistolografia. Appunti sull’opera poetica di Lodovico Dolce, XIX, 2016, pp. 113-130.
Giorgio Masi, Un sonetto inedito sull’Ercole e Caco di Baccio Bandinelli, con ipotesi attribuitive (e il topos burlesco del dimissionario), XVI, 2013, pp. 79-109.
Marcello Mazzetti, Musica e poesia in un inedito canzoniere del 1619: le Rime di Vincenzo Guidoni, XXIV, 2021, pp. 191-224.
José Maria Micó, Un sonetto de Góngora: «Descaminado, enfermo, peregrino», XIV, 2011, pp. 117-132.
Erika Milburn, Il sogno erotico nella lirica del Cinquecento, XVII, 2014, pp. 43-71. Luca Milite, Un’altra implicazione senese per un sonetto di Galeazzo di Tarsia, XIV, 2011, pp. 133-143.
Alessandro Mongatti, Uno scambio di sonetti tra il Lasca e Benedetto Varchi (e un omaggio a Luigi Alamanni), XXI, 2018, pp. 235-246.
Cristina Montagnani, L’egloga rappresentativa nel Quattrocento: un’ipotesi storiografica?, XX, 2017, pp. 33-45.
Alessandra Mulas, Epistole e prosimetri inediti del Feliciano fonti delle Porretane, X, 2007, pp. 58-84.
Chiara Natoli, La guerra d’Oriente e la minaccia turca nella lirica di metà Cinquecento, XXII, 2019, pp. 211-233.
Matteo Navone, Genova 1575-1612. La poesia dialettale ligure nelle Rime diverse in lengua zeneise, XXIII, 2020, pp. 25-51.
María de las Nieves Muñiz Muñiz, La descriptio puellæ dans la poésie italienne de la Renaissance : quelques notes pour une nouvelle approche, XVIII, 2015, pp. 189-218.
———, Sul contributo della bucolica italiana al rinnovamento della poesia rinascimentale in Spagna (le fonti del locus amoenus e la mediazione di Garcilaso), XX, 2017, pp. 149-171.
Ivano Paccagnella, Magagnò ovvero la metamorfosi del pavano, XXIII, 2020, pp. 207-243.
Thomas Penguilly, La muse latine et la muse vulgaire. André Alciat et la poésie italienne de son temps, XVII, 2014, pp. 165-206.
Giovanna Perini Folesani, La poesia ecfrastica ed encomiastica tra elemento esornativo e documento storico: il caso della Felsina pittrice di Carlo Cesare Malvasia, XXII, 2019, pp. 191-208.
Lino Pertile, Un «roco» sonetto per Veronica. Come nasce il CXXIII delle Rime di Pietro Bembo, I, 1998, pp. 9-24.
Enea Pezzini, Significato storico e lettura dei Rabisch di Giovanni Paolo Lomazzo, XXIII, 2020, pp. 79-105.
Federica Pich, Petrarca nei trattati d’arte del Cinquecento: due riflessioni, XXII, 2019, pp. 104-130.
———, Note su didascalie, «argomenti» e «dichiarazioni» nei libri di rime del secondo Cinquecento, XXIV, 2021, pp. 83-107.
Franco Pierno e Giovanni Scarola, La «nobile e pregiata parte». Appunti sul primo salterio ginevrino in lingua italiana, i XX Salmi di David (1554), XXI, 2018, pp. 180-195.
Ester Pietrobon, Per una rilettura delle Rime di Messer Luca Contile, XVII, 2014, pp. 207-227.
Franco Pignatti, Le poesie e le prose spirituali di Antonfrancesco Grazzini, XII, 2009, pp. 123-172.
———, Obituaria laschiana, XIV, 2011, pp. 145-171.
———, I capitoli di Francesco Maria Molza. Storia esterna e restauri testuali, XVI, 2013, pp. 11-67.
———, Di un sonetto epistolare e alcuni sonetti filoebraici di Francesco Maria Molza, XIX, 2016, pp. 55-86.
Stefano Prandi, Il volo, il desiderio, la caduta: Icaro nella lirica italiana e francese del XVI secolo, VII, 2004, pp. 101-135.
Paolo Procaccioli, Dialoghi di primedonne. Preliminari sulle contaminazioni cinquecentesche di poesia e epistolografia, XIX, 2016, pp. 17-39.
———, Dal colligere fragmenta al censimento del presente. Il libro di rime come opus typographicum, XXIV, 2021, pp. 19-38.
Agnès Rees, Poétiques de la « vive représentation » de Marco Girolamo Vida (1527) à Jacques Peletier du Mans (1555), XII, 2009, pp. 93-122.
Eugenio Refini, Le «gioconde favole» e il «numeroso concento». Alessandro Piccolomini interprete e imitatore di Orazio nei Cento Sonetti (1549), X, 2007, pp. 15-57.
Matteo Residori, Armida e Proteo. Un percorso tra Gerusalemme liberata e conquistata, II, 1999, pp. 113-142.
———, « Del fuggir la moltitudine ». Néoplatonisme et scepticisme dans le Malpiglio secondo du Tasse, V, 2002, pp. 93-105.
Francisco Rico, Pétrarque au partage de midi, VII, 2004, pp. 9-26.
Pietro Giulio Riga, Osservazioni e riscontri sulle antologie di lirica spirituale (1550-1616), XXI, 2018, pp. 59-98.
———, Lirica sacra e lirica morale nel secondo Cinquecento, XXIV, 2021, pp. 305-323.
Salvatore Ritrovato, «Ecco mormorar l’onde». Un esercizio di lettura, XV, 2012, pp. 195-214.
Giovanna Rizzarelli, Disegnare con le parole. La doppia creatività di Benvenuto Cellini, XXII, 2019, pp. 39-58.
Mikaël Romanato, Per l’edizione della Gelosia del Sole di Girolamo Britonio, XII, 2009, pp. 33-71.
———, Sulle Farse astigiane di Giovan Giorgio Alione (1521), XXIII, 2020, pp. 52-77.
Danilo Romei, Paralipomeni della disputa Bembo – Brocardo, XVI, 2013, pp. 69-77.
Irene Romera Pintor, Giraldi Cinzio: un homme de cœur pris dans la tourmente de la cour de Ferrare, de l’Altile à l’Arrenopia, XVIII, 2015, pp. 111-130.
———, [Introduzione], XVIII, 2015, pp. 7-11.
Alberto Roncaccia, Ludovico Castelvetro e Filippo Valentini in due sonetti di corrispondenza, V, 2002, pp. 77-92.
———, Ariosto petrarchista: appunti sul sonetto «Aventuroso carcere soave», XV, 2012, pp. 149-161.
———, Fonti dell’attività letteraria dell’Accademia di Modena. Due sonetti di Alessandro Melani, XVII, 2014, pp. 229-241.
François Rouget, Les livres italiens de Philippe Desportes, X, 2007, pp. 85-104. Emilio Russo, Sulle «amorose tenerezze» del Marino. Tra Epitalami ed Adone, XVII, 2014, pp. 141-162.
———, Le raccolte di Marino e la lirica di primo Seicento, XXIV, 2021, pp. 39-64.
Piotr Salwa, Veronica Franco et la dignité d’une courtisane, XV, 2012, pp. 235-259.
Federico Sanguineti, Tasso in Ottieri, III, 2000, pp. 102-110.
Nelia Saxby, Within and without some collections of North Italian court poetry of the fifteenth century, IV, 2001, pp. 7-17.
Giovanni Scarola e Franco Pierno, La «nobile e pregiata parte». Appunti sul primo salterio ginevrino in lingua italiana, i XX Salmi di David (1554), XXI, 2018, pp. 180-195.
Stefania Signorini, Da Maria a Lucrezia. Su due rime giovanili di Pietro Bembo, VI, 2003, pp. 53-74.
Josep Lluís Sirera, La tragedia spettacolo cortigiano della Spagna del XVI secolo, XVIII, 2015, pp. 131-148.
Daniela Solfaroli Camillocci e Chiara Lastraioli, Poesia e religione [Introduzione], XXI, 2018, pp. ix-xi.
Barbara Spaggiari, La presenza di Luigi Groto in Shakespeare e negli autori Elisabettiani, XII, 2009, pp. 173-202.
———, «Sorgi Homer, vien Petrarca, esci Marone». I corrispondenti in versi di Luigi Groto, XIX, 2016, pp. 247-262.
Giuliano Tanturli, Una gestazione e un parto gemellare: la prima e la seconda parte dei Sonetti di Benedetto Varchi, VII, 2004, pp. 43-100.
Barbara Tanzi Imbri, Cenni sulla tradizione enoica nella poesia di Gabriello Chiabrera, XXIII, 2020, pp. 371-394.
Maria Antonietta Terzoli, Poètes, muses et divinités dans les textes liminaires des recueils poétiques : le premier sonnet de Giovanni della Casa, XIII, 2010, pp. 17-51.
Livio Ticli, Cantanti, strumentisti e improvvisatori: la poesia in musica e l’«esecuzione integrata» fra Cinque e Seicento, XXIV, 2021, pp. 157-190.
Antonia Tissoni Benvenuti, Genere bucolico, poesia pastorale. Le metamorfosi dell’egloga nel Quattrocento, XX, 2017, pp. 13-31.
Franco Tomasi, Appunti sulla tradizione delle Satire di Luigi Alamanni, IV, 2001, pp. 31-59.
———, Lettura di «Arsi gran tempo e del mio foco indegno» di Torquato Tasso, XV, 2012, pp. 47-72.
———, Erotismo e sensualità nella lirica rinascimentale. Introduzione, XVII, 2014, pp. 7-17.
Franco Tomasi e Valeria Di Iasio, Il libro di rime tra secondo Cinquecento e primo Seicento. [Introduzione], XXIV, 2021, pp. 7-17.
Emilio Torchio, Giovanni Guidiccioni: sonetti in sequenza d’autore (il ms. Parmense 344), IX, 2006, pp. 29-63.
Andrea Torre, L’edonista riluttante. Erotismo, sessualità e mito adonico nel Rinascimento, XVII, 2014, pp. 73-101.
Tobia R. Toscano, Due sonetti di Galeazzo di Tarsia in una rara stampa del 1558 e una sua lettera a Niccolò Franco, I, 1998, pp. 47-59.
Arnaud Tripet, Pétrarque, la parole silencieuse, VIII, 2005, pp. 9-25.
Vera Tufano, Le Eclogæ di Pontano e la bucolica in volgare di Sannazaro, XX, 2017, pp. 73-94.
Carlo Vecce, Travestimenti aragonesi (anche pastorali), XX, 2017, pp. 95-118.
———, «Sincero solo». Iacopo Sannzaro, lezioni di tenebra, XX, 2017, pp. 279-291. Paola Vecchi Galli, Onomastica petrarchesca per il Canzoniere, VIII, 2005, pp. 27-44.
Claudio Vela, Prima esplorazione di una linea di ricerca: la bucolica come veicolo di tradizione indiretta, XX, 2017, pp. 173-193.
Alessandra Villa, Le partage des ‘droits’ sur l’œuvre littéraire à la Renaissance. Les cas d’Isabella d’Este, VIII, 2005, pp. 45-71.
Susanna Villari, Dallo scrittoio al teatro: considerazioni sulle tragedie giraldiane, XVIII, 2015, pp. 13-34.
Rodolfo Vittori e Massimo Danzi, Tra Bergamo e Brescia. La misura trilingue del bergamasco Giovanni Bressani, XXIII, 2020, pp. 151-180.
Franz Voelker, I cinquanta componimenti funebri di Michelangelo per Luigi del Riccio, III, 2000, pp. 23-44.
Paolo Zaja, «Essere interprete de’ miei sonetti». Appunti su tre libri di rime con autocommento del secondo Cinquecento, XXIV, 2021, pp. 109-134.
Tiziano Zanato, Provare «l’ultimo valor» di amore. Sensualità ed erotismo negli Amorum libri di Boiardo, XVII, 2014, pp. 19-42.
Conferenze Barbier-Mueller
Per i testi pubblicati, il numero del volume e la data sono indicati tra parentesi
1999: Paul Larivaille (II, 1999)
2000: Carlo Ossola
2001: Corrado Bologna (V, 2002)
2002: André Gendre (VI, 2003)
2003: Francisco Rico (VII, 2004)
2004: Arnaud Tripet (VIII, 2005)
2005: Lina Bolzoni (IX, 2006)
2006: Thomas Hunkeler (XI, 2008)
2007: Roberto Leporatti
2008: Jean Balsamo (XI, 2008)
2009: Volker Kapp (XII, 2009)
2010: Maria Antonietta Terzoli (XIII, 2010)
2011: Johannes Bartuschat (XIV, 2011)
2012: Piotr Salwa (XV, 2012)
2013: Chiara Lastraioli (XVI, 2013)
2014: Maria de las Nieves Muñiz Muñiz (XVIII, 2015)
2015: Andrea Robiglio
2016: Simone Albonico (XIX, 2016)
2017: Carlo Vecce (XX, 2017)
2018: Enrico Fenzi (XXI, 2018)
2019: Carlo Caruso (XXII, 2019)
II. Tavola analitica delle cose notabili
Sono precisati tra parentesi i nomi degli autori e la data del contributo
A
Accademie: Casu (1999); Garavelli (2013); Roncaccia (2014)
Accademia degli Eterei: Casu (1999)
Accademia di Modena: Roncaccia (2014)
Achillini, Giovanni Filoteo: Comboni (2003)
Adone, mito: Torre (2014); Caruso (2017)
Alamanni, Luigi: Tomasi (2001); Alonge (2018); Mongatti (2018)
Satire: Tomasi (2001)
Alciati, Andrea: Penguilly (2014)
Alfabeto dei villani: Esposto (2020)
Alighieri, Dante: Balsamo (1998); Hunkeler (2008)
Autorità: Dal Cengio (2021)
Ricezione: Balsamo (1998); Hunkeler (2008); Dal Cengio (2021)
Alione, Giovan Giorgio: Romanato (2020)
Farse: Romanato (2021)
Amomo: Bucchi (2010)
Favola di Piramo e Tisbe: Bucchi (2010)
Amore, vedi Erotismo, Lirica d’amore
Anteros, vedi Eros
Anthologie: Balsamo (2002); Terzoli (2010); Riga (2018); Procaccioli (2021)
Arcimboldo, Giuseppe: Chiquet (2019)
Ariosto, Ludovico: Larivaille (1999); Gendre (2003); Benedettini (2010); Roncaccia (2012); De las Nieves Muñiz Muñiz (2015); Dalmas (2018)
«Aventuroso carcere soave…»: Roncaccia (2012)
Il Negromante: Benedettini (2010)
Orlando furioso: Dalmas (2018)
Ricezione: Gendre (2003)
Arti, vedi Poesia ed arte
Arti poetiche: Rees (2009)
Asperitas: Hunkeler (2008)
Asti: Romanato (2020)
Aviso piacevole: Balsamo (1998)
B
Baldassare da Fossombrone: Crimi (2013)
Bosadrello: Crimi (2013)
Bandinelli, Baccio: Masi (2013)
Ercole e Caco: Masi (2013)
Barocco: Marangoni (2000)
Beccari, Agostino: Montagnani (2017)
Bembo, Pietro: Gorni (1998); Pertile (1998); Gendre (2003); Signorini (2003); Donnini (2005); Bolzoni (2006); Ferroni (2009); Terzoli (2010); Bartuschat (2011); Romei (2013); De las Nieves Muñiz Muñiz (2015); Albonico (2016)
Asolani: Bolzoni (2006)
Rime: Signorini (2003); Ferroni (2009)
Rime, CXXIII: Pertile (1998)
Rime, CXXXVIII: Donnini (2005)
«Piansi et cantai…»: Ferroni (2009); Albonico (2016)
Stanze: Bartuschat (2011)
Ricezione: Gendre (2003)
Benucci, Lattanzio: Bertolio (2016)
Capitoli: Bertolio (2016)
Bergamasco, dialetto: D’Onghia (2020); Danzi e Vittori (2020)
Bergamo: Danzi e Vittori (2020)
Bestiario: Malinverni (1999)
Biblioteche: Conihout (2004); Rouget (2007); Conihout (2007)
Boiardo, Matteo Maria: Zanato (2014)
Amorum libri: Zanato (2014)
Braccesi, Alessandro: Comboni (2003)
Brach, Pierre de: Cavallini (2010)
Brescia: Danzi et Vittori (2020)
Bressani, Giovanni: Danzi et Vittori (2020)
Britonio, Girolamo: Romanato (2009)
Gelosia del Sole: Romanato (2009)
Brocardo, Antonio: Romei (2013)
Bronzino, Agnolo: Geremicca (2019)
Brucioli, Antonio: Fadini (2018); Alonge (2018)
Dello Divino Amore Christiano: Fadini (2018)
Brunetto Latini: Ferroni (2009)
Bucolica: Tissoni Benvenuti (2017); Finazzi (2017); Tufano (2017); De las Nieves Muñiz Muñiz (2017); Vela (2017); Lastraioli (2017); Caruso (2017); Guassardo (2021)
Buonarroti, Michelangelo: Voelker (2000); Dalmas (2012); Corsaro (2013); Gamberini (2018)
«Vorrei voler, Signor…»: Dalmas (2012)
Burlesco: Masi (2013); Lastraioli (2013); Lastraioli (2017)
C
Camillo, Giulio: Bologna (2002)
Camõens, Luís de: Gigliucci (2011)
Canzone: Gorni (2006)
Canzoniere, nozione: Vecchi Galli (2005); Di Iasio (2021)
Capitoli: Pignatti (2013); Bertolio (2016)
Capriccio: Chiquet (2019)
Caracciolo, Antonio: Alonge (2018)
Caro, Annibal: Casu (2000)
Castelvetro, Ludovico: Roncaccia (2002)
Castiglione, Baldassare: Honnacker (2012)
«Superbi colli, e voi sacre ruine…»: Honnacker (2012)
Cavassico, ser Bartolomeo: Comerio (2020)
Cellini, Benvenuto: Rizzarelli (2019)
Censura: Fadini (2018)
Chiabrera, Gabriello: Tanzi Imbri (2020)
Cicerone: Ferroni (2009)
Cittadini, Celso: Zaja (2021)
Rime platoniche: Zaja (2021)
Claudiano: Gargano (2011)
Codice, vedi manoscritti
Colonna, Vittoria: Bianco (1998); Bardazzi (2001); Bianco (2008); Romanato (2009); Pignatti (2009)
Rime spirituali: Bardazzi (2001); Gorris Camos (2012)
«Ovunque giro gli occchi…»: Bianco (2008)
Commedia: Benedettini (2010)
Commentario: Pich (2021); Zaja (2021)
Contile, Luca: Pietrobon (2014)
Rime: Pietrobon (2014)
Correggio, Niccolò da: Guassardo (2021)
Corso, Rinaldo: Bianco (1998)
Cosimo I de’ Medici: Gamberini (2018)
Croce, Giulio Cesare: Baricci (2020)
D
Davide: Pierno et Scarola (2018)
Degli Arienti, Giovanni Sabadino: Mulas (2007)
Porretane: Mulas (2007)
Del Carretto, Galeotto: Cremante (2015)
Sophonisba: Cremante (2015)
Del Riccio, Luigi: Voelker (2000)
Della Casa, Giovanni: Terzoli (2010); Bausi (2012)
«Poi ch’ogni esperta, ogni spedita mano…»: Terzoli (2010)
«Già lessi, ed or conosco in me…»: Bausi (2012)
Descriptio puellæ: De las Nieves Muñiz Muñiz (2015)
Desportes, Philippe: Rouget (2007); DallaNeva (2008)
Dialetti, vedi Poesia dialettale
Dolce, Lodovico: Marini (2016)
Dolce stil nuovo: Hunkeler (2002)
Dolcezza: Hunkeler (2008)
Du Bellay, Joachim: Bettoni (2002); Gorni (2003); Gorris Camos (2012)
Olive: Gorni (2003); Gorris Camos (2012)
E
Ebrei: Pignatti (2016)
Egloga: Tissoni Benvenuti (2017); Montagnani (2017); Tufano (2017); Vecce (2017)
Egloga rappresentativa: Montagnani (2017)
Ekphrasis: Rizzarelli (2019); Perini Folesani (2019)
Emblemi: Casu (1999); Penguilly (2014)
Enoica, tradizione: Tanzi Imbri (2020)
Epistole: Chiodo (2016)
Epistolografia: Procaccioli (2016); Marini (2016)
Erizzo, Sebastiano: Conihout (2007)
Eros, poesia erotica: Larivaille (1999); Tomasi (2014); Zanato (2014); Milburn (2014); Torre (2014); Comiati (2014); Russo (2014)
Eros ed Anteros: Comboni (2000)
Esecuzione integrata: Ticli (2021)
Este Gonzaga, Isabella d’: Villa (2005)
Evangelismo: Alonge (2018)
Exempla: Kapp (2009)
F
Ferrari, Giovanni Francesco: Lastraioli (2013)
Rime burlesche: Lastraioli (2013)
Feliciano, Felice: Mulas (2007)
Firenze: Ardissino (2018); Gamberini (2018)
Fontainebleau: Bologna (2002)
Forma e matieria: Albonico (2016)
Fossombrone, vedi Baldassare da Fossombrone
Franco, Niccolò: Toscano (1998); Danzi (1998)
Sonetto XVI: Danzi (1998)
Franco, Veronica: Salwa (2012)
G
Gambara, Veronica: Pertile (1998); Bettoni (2002)
Garcilaso de La Vega, voir La Vega
Genova: Navone (2020)
Ginevra: Pierno e Scarola (2018)
Giovio, Paolo: Donnini (2005)
Giraldi Cinzio, Giambattista: Villari (2015); Guercio (2015); Romera Pintor (2015)
Altile: Romera Pintor (2015)
Arrenopia: Romera Pintor (2015)
Orbecche: Villari (2015)
Ricezione: Guercio (2015)
Gongóra, Luis de: Micó (2011)
Gonzaga, Camilla: Terzoli (2010)
Gonzaga, Vespasiano: Chiodo (2016)
Goselini, Giuliano: Zaja (2021)
Dichiaratione di alcuni componimenti: Zaja (2021)
Grazzini, Antonfrancesco, detto Lasca: Pignatti (2009); Pignatti (2011); Mongatti (2018)
Grillo, Angelo: Luparia (2016)
Grimani, Domenico, cardinal: Conihout (2007)
Groto, Luigi: Spaggiari (2009); Huss (2015); Spaggiari (2016)
Adriana: Huss (2015)
Dalida: Huss (2015)
Guidiccioni, Giovanni: Torchio (2006)
Guidoni, Vincenzo: Mazzetti (2021)
Rime: Mazzetti (2021)
Guisone, Ferrante: Cosentino (1999)
Divina settimana: Cosentino (1999)
H
Henri de Navarre: Balsamo (1998)
Herrera, Fernando de: Béhar (2011)
Hurault, Jean, sieur de Boistaillé: Conihout (2007)
Hurault, André, sieur de Maisse: Conihout (2007)
I
Icaro, mito: Prandi (2004)
Imprese, vedi Emblemi
L
Lasca, vedi Grazzini
La Taille, Jean de: Benedettini (2010)
Laubespine-Villeroy, famille: Conihout (2004)
La Vega, Garcilaso de: Gargano (2011); De las Nieves Muñiz Muñiz (2017)
Leonardo da Vinci: Dubard de Gaillarbois (2019)
Leoni, Giovanni Battista: Gigliucci (2016)
Lettere: Gigliucci (2016); Luparia (2016)
Ligure, dialetto: Navone (2020)
Libri italiani: Conihout (2004); Rouget (2007); Conihout (2007)
Libro di poesia: Di Iasio e Tomasi (2021); Procaccioli (2021); Russo (2021);Di Iasio (2021); Pich (2021); Zaja (2021); Galavotti (2021); Ticli (2021); Mazzetti (2021)
Lirica d’amore: Gigliucci (2001)
Lirica morale: Riga (2021)
Lirica sacra: Riga (2021)
Locus amoenus: De las Nieves Muñiz Muñiz (2017)
Lomazzo, Giovanni Paolo: Pezzini (2020)
Rabisch: Pezzini (2020)
M
Madrigale: Ritrovato (2012)
Magagnò: Comboni (2020); Paccagnella (2020)
Magno, Celio: Comiati (2014)
Rime: Comiati (2014)
Magny, Olivier de: Maira (2004)
Les Amours: Maira (2004)
Malvasia, Carlo Cesare: Perini Folesani (2019)
Felsina Pittrice: Perini Folesani (2019)
Manierismo: Albonico (1999) Manoscritti greci: Conihout (2007)
Manoscritti italiani: Curti (2005); Torchio (2006); Mulas (2007); Pignatti (2011); Iovino (2012); Corsaro (2013); Camboni (2019); Di Iasio (2020)
Manuzio, Aldo: Caruso (2019)
Margherita d’Austria: Chiodo (2007)
Marino, Giambattista: Carrai (1998); Gigliucci (2001); Russo (2014); Caruso (2017); Russo (2021)
Adone: Russo (2014)
Epitalami: Russo (2014)
Rime: Russo (2021)
Melani, Alessandro: Roncaccia (2014)
Metrica: Gorni (2006); Cremante (2015); Galavotti (2021)
Michelangelo, vedi Buonarroti
Milano: Albonico (1999); Pezzini (2020)
Minturno, Antonio Sebastiano detto: Carrai (1998)
Mitologia: Bologna (2002); Prandi (2004); Bucchi (2010); Torre (2014)
Mochi, Francesco: Conte (2019)
Santa Veronica: Conte (2019)
Molza, Francesco Maria: Pignatti (2013); Pignatti (2016)
Capitoli: Pignatti (2013)
«Mentre che lieto vi godete a l’ombra…»: Pignatti (2016)
Montaigne, Michel de: Balsamo (2008)
Motivi, vedi Temi
Mouzinho, Vasco: Alves (2011)
Musica, vedi Poesia e musica
Muzio, Girolamo: Rees (2009)
Muzzarelli, Giovanni: Camboni (2019)
«Me freddo il petto…»: Camboni (2019)
N
Napoli: Vecce (2017)
O
Ochino, Bernardino: Bardazzi (2001); Bianco (2008); Pignatti (2009)
Orazio: Gorni (1998); Carrai (1998), Refini (2007)
Ottave: Curti (2005)
Ottieri, Ottiero: Sanguineti (2000)
Ovidio: Bucchi (2010); Milburn (2014)
P
Parenti, Giovanni: Danzi (2021); Carrai (2021); Gentile (2021)
Parodia: Largaiolli (2008)
Pavano, dialetto: Comboni (2020); Paccagnella (2020); Esposto (2020)
Peletier du Mans, Jacques: Rees (2009)
Petrarca, Francesco: Ricco (2004); Tripet (2005); Vecchi Galli (2005); Kapp (2009); Jossa (2011); Domenichelli (2012); Pich (2019); Caruso (2019)
Canzoniere: Vecchi Galli (2005)
Cose volgari: Caruso (2019)
Triumphi: Kapp (2009)
Petrarchismo: Gorni (2003); DallaNeva (2008); Jossa (2011); Gigliucci (2011); Alves (2011); Kennedy (2011); Camerlingo (2011); Gargano (2011); Béhar (2011); Micó (2011); Jossa (2012); Bausi (2012); Tomasi (2012); Gorris Camos (2012); Dalmas (2012); Roncaccia (2012); Honnacker (2012); Domenichelli (2012); Ritrovato (2012); Milburn
(2014); Natoli (2019)
Piccolomini, Alessandro: Refini (2007)
Cento sonetti: Refini (2007)
Piccolomini, Enea Silvio: Comboni (2003)
Pirame e Tisbe: Bucchi (2010)
Pittura: Dubard de Gaillarbois (2015)
Pléiade: Gendre (2003)
Poesia biblica: Ardissino (2018); Alonge (2018); Pierno et Scarola (2018) Poesia comica: Lastraioli (2013); Pignatti (2013); Romei (2013); Masi (2013); Garavelli (2013); Crimi (2013); Corsaro (2013)
Poesia dialettale: D’Onghia et Danzi (2020); Navone (2020); Romanato (2020); Pezzini (2020); D’Onghia (2020); Danzi e Vittori (2020); Comboni (2020); Paccagnella (2020); Esposto (2020); Comerio (2020); Galavotti (2020); Baricci (2020)
Poesia drammatica: Cosentino (2006)
Poesia epistolare: Procaccioli (2016); Chiodo (2016); Pignatti (2016); Bramanti (2016); Marini (2016); Bertolio (2016); Luparia (2016); Spaggiari (2016); Geremicca (2019)
Poesia francese: Prandi (2004); Rees (2009)
Poesia manierista: Albonico (1999)
Poésia neolatina: Penguilly (2014); Danzi (2021); Carrai (2021); Gentile (2021)
Poesia pastorale: Tissoni Benvenuti (2017); Vecce (2017); Ferroni (2017)
Poesia politica: Natoli (2019)
Poesia spagnola: De la Nieves Muñiz Muñiz (2017)
Poesia spirituale: Bardazzi (2001); Bettoni (2002); Pignatti (2009); Gorris Camos (2012); Pignatti (2016); Ardissino (2018); Riga (2018); Riga (2021)
Poesia veneta: Dal Cengio (2021)
Poesia d’amore: Gigliucci (2001)
Poesia di corte: Saxby (2001)
Poesia ed arte: Dubard de Gaillarbois (2019); Rizzarelli (2019); Geremicca (2019); Gamberini (2019); Pich (2019); Chiquet (2019); Conte (2019); Perini Folesani (2019)
Poesia e musica: Ticli (2021); Mazzetti (2021)
Poesia e religione: Lastraioli e Solfaroli Camillocci (2018); Ardissino (2018); Dalmas (2018); Riga (2018); Fadini (2018); Alonge (2018); Pierno et Scarola (2018)
Poeti françesi: Balsamo (2002); Bettoni (2002); Hunkeler (2002); Gorni (2003); Maira (2004); Rouget (2007); Hunkeler (2008) DallaNeva (2008); Benedettini (2010); Cavallini (2010); Kennedy (2011); Gorris Camos (2012)
Poeti neolatini: Danzi (2021); Carrai (2021); Gentile (2021)
Poeti siciliani: Gorni (2006)
Poetiche: Rees (2009)
Pontano, Giovanni Gioviano: Tufano (2017)
Eclogæ: Tufano (2017)
Porrino, Gandolfo: Chiodo (2016)
Capitoli: Chiodo (2016)
Predica d’amore: Largaiolli (2008)
Prosimetro: Mulas (2007)
Q
Quattrocento: Tissoni Benvenuti (2017); Montagnani (2017); Finazzi (2017); D’Onghia (2020)
R
Raccolte di rime, vedi Antologie, Libro di poesia
Raineri, Anton Francesco: Chiodo (2007)
Cento sonetti, LXXII: Chiodo (2007)
Reame della Virtù: Garavelli (2013)
Religione, vedi Poesia e religione
Retorica: Kapp (2009); Ferroni (2009)
Rey de Artieda, Andrés: Sirena (2015)
Rime diverse in lengua zeneise: Navone (2020)
Ronsard, Pierre de: Kennedy (2011)
Rosa, Salvator: Conte (2019)
S
Sacco, Tiburzio: Cremante (2015)
Sosanna: Cremante (2015)
Salel, Hugues: Maira (2004)
Salmi di David (1554): Pierno et Scarola (2018)
Sannazaro, Jacopo: Maira (2004); Tufano (2017); Danzi (2017); Vecce (2017)
Arcadia: Tufano (2017); Danzi (2017); Vecce (2017)
Ricezione: Maira (2004)
Satire: Tomasi (2001); Esposto (2020)
Savonarola, Girolamo: Ardissino (2018)
Scève, Maurice: Hunkeler (2002); Hunkeler (2008)
Délie: Hunkeler (2002); Hunkeler (2008)
Sebastiano del Piombo: Bianco (2008)
Seicento: Russo (2021)
Selva: Albonico (1999)
Serafino Aquilano: Gigliucci (2001)
Sforza, Muzio: Albonico (1999)
Shakespeare, William: Spaggiari (2009); Camerlingo (2011)
Sonnetti, 144: Camerlingo (2011)
Sirani, Elisabetta: Dubard de Gaillarbois (2015)
Porzia: Dubard de Gaillarbois (2015)
Sogno: Milburn (2014)
Sonetto: Casu (2000); Torchio (2006); Gigliucci (2011); Masi (2013); Pignatti (2016); Mongatti (2018)
Spagna: Sirena (2015); De las Nieves Muñiz Muñiz (2017)
Speroni, Sperone: Conihout (2004)
Stigliani, Tommaso: Aloè (2016)
Mondo nuovo: Aloè (2016)
T
Tansillo, Luigi: Iovino (2012)
Podere: Iovino (2012)
Balia: Iovino (2012)
Tarsia, Galeazzo di: Danzi (1998); Toscano (1998); Milite (2011)
«Come in limpido vetro…»: Danzi (1998); Milite (2011)
Tasso, Bernardo: Bucchi (2010)
Favola di Piramo e Tisbe: Bucchi (2010)
Tasso, Torquato: Casu (1999); Residori (1999); Cosentino (1999); Casu (2000); Sanguineti (2000); Gorni (2001); Residori (2002); Gorni (2006); Cavallini (2010); Tomasi (2012); Ritrovato (2012); Guercio (2015); Luparia (2016); Fenzi (2018); Di Iasio
Aminta: Cavallini (2010); Guercio (2015); Fenzi (2018)
Malpiglio secondo: Residori (2002)
Gerusalemme Conquistata: Residori (1999)
Gerusalemme liberata: Residori (1999); Gorni (2001)
Lettere: Luparia (2016)
Mondo creato: Cosentino (1999)
Rime: Casu (1999); Di Iasio (2020)
«Arsi gran tempo e del mio foco indegno…»: Tomasi (2012)
«Ecco mormorar l’onde»: Ritrovato (2012)
Torrismondo: Guercio (2015)
Ricezione: Sanguineti (2000); Balsamo (2008); Cavallini (2010)
Tassoni: Longhi (1998)
Secchia rapita: Longhi (1998)
Teatro: Spaggiari (2009); Benedettini (2010); Villari (2015); Huss (2015); Cremante (2015); Guercio (2015); Romera Pintor (2015); Sirena (2015)
Temi: Maragoni (2000); Gigliucci (2001); Prandi (2004); Masi (2013)
Terracina, Laura: Toscano (1998)
Seste rime: Toscano (1998)
Tolomei, Claudio: Garavelli (2013)
Topos: Masi (2013); De las Nieves Muñiz Muñiz (2017)
Torelli, Pomponio: Guercio (2015)
Merope: Guercio (2015)
Traduzione: Domenichelli (2012)
Tragedia: Cosentino (2006); Spaggiari (2009); Villari (2015); Huss (2015); Cremante (2015); Guercio (2015); Romera Pintor (2015); Sirena (2015)
Travestimento: Vecce (2017)
Trilinguismo: Danzi et Vittori (2020)
Trissino, Giovan Giorgio: Cremante (2015); De las Nieves Muñiz Muñiz (2015)
Turchi: Natoli (2019)
V
Valentini, Filippo: Roncaccia (2002)
Varchi, Benedetto: Tanturli (2004); Bramanti (2016); Ferroni (2017); Mongatti (2018); Geremicca (2019)
Sonetti: Tanturli (2004); Bramanti (2016); Ferroni (2017)
Vasari, Giorgio: Chiodo (2007); Gamberini (2019)
Vasari Pietro: Gamberini (2019)
Vendramini, Giovanni: Albonico (1999)
Venier, Domenico: Casu (2000)
Venier, Maffio: Galavotti (2020)
Veneto, dialetto: Comerio (2020); Galavotto (2020)
Vida, Marco Girolamo: Rees (2009)
Virgilio: Gorni (1998); Tissoni Benvenuti (2017); Finazzi (2017)
Viva rappresentazione: Rees (2009)
W
Wyatt, Thomas: Domenichelli (2012)
____________
1 De Dante à Chiabrera. Poètes italiens de la Renaissance dans la bibliothèque de la Fondation Barbier-Mueller. Catalogue établi par Jean Balsamo, avec la collaboration de Franco Tomasi, préface de Carlo Ossola, Genève, Droz, 2007.
2 Présenté dans Silvia D’Amico et Catherine Magnien-Simonin (dir.), Gabriele Simeoni (1509-1570 ?). Un Florentin en France entre princes et libraires, Genève, Droz, 2016, pp. 10, 613.
3 Les Poètes français de la Renaissance et Pétrarque, Études réunies par Jean Balsamo, (Travaux d’Humanisme et Renaissance, n° 394 ; Textes et Travaux de la Fondation Barbier-Mueller, n° 1), Genève, Droz, 2004 ; Il poeta e il suo pubblico. Lettura e commento dei testi lirici nel Cinquecento, in Massimo Danzi e Roberto Leporati (a cura di), Convegno internazionale di studi (Ginevra, 15-17 maggio 2008), (Travaux d’Humanisme et Renaissance, n° 482 ; Textes et Travaux de la Fondation Barbier-Mueller, n° 2), Genève, Droz, 2012 ; Alessandro Piccolomini, I cento sonetti, a cura di Franco Tomasi, (Travaux d’Humanisme et Renaissance, n° 553 ; Textes et Travaux de la Fondation Barbier-Mueller, n° 3), Genève, Droz, 2015 ; Girolamo Britonio, Gelosia del Sole, edizione critica e commento a cura di Mikaël Romanato, (Travaux d’Humanisme et Renaissance, n° 597 ; Textes et Travaux de la Fondation Barbier-Mueller, n° 4), Genève, Droz, 2019.
4 European Petrarchism: Reading ans Writing Petrarch in the Renaissance, Annual meeting of the Renaissance Society of America, Venice, April 8-10, 2010.
5 Actes des journées d’étude Spazio, cifre e statuto del codice bucolico tra Boccaccio e Marino, Genève-Cologny, 21-22 avril, 2016.